Michel Strogoff

Michel Strogoff
1956
Carmine Gallone

On fait tous des erreurs et Jules Vernes aussi. La preuve en est avec son livre Michel Strogoff qui, aux vus du film, doit être passablement chiant et débile.

Dans un monde parallèle, les sauces tartares ont envahis la Russie en 1875. Pour sauver le pays, la France envoie son meilleur espion, Michel Strogoff, pour apporter une lettre capitale au Tsar. Pour y parvenir incognito, Michel se fera accompagner de force par Nadia, une fille à papa. Et la route sera longue, très longue…

Et dire que Jules Vernes l’a écrit… C’est une honte ! L’histoire est d’une platitude hors normes et son développement est sans aucunes surprises. Pire encore, la fameuse lettre est d’une inutilité colossale, c’est effarant ! Les acteurs sont eux aussi lamentables mais c’est inhérent à l’époque. Mais plus encore, il est difficilement supportable de voir à quel point les hommes sont tous des connards finis et les femmes des meubles très cons et qui ne savent que geindre. Tant de misogynie, c’est usant ! Et qu’est-ce qu’il est long en plus ce film, une horreur. Et comble de l’abomination : ils en ont fait une suite…

Ce contenu a été publié dans Cinéma, Critiques. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *