Hercule

Hercule
1997
John Musker, Ron Clements

Il fut une époque où la Grèce était autre chose qu’une créance de 100 milliards et elle figurait même parmi les pays les plus important au monde. Le film se situe pour sa part dans la Grèce antique, alors que Zeus mis au monde un fils : Hercule. Mais Hadès, frère de Zeus (et Poséidon), désireux de prendre le pouvoir depuis toujours, a eu vent d’une prophétie selon laquelle dans 18 ans, si Hercule meurt, il régnerait sur l’Olympe. Il envoi alors Peine et Panique s’occuper du bébé. Pour se faire, ils doivent lui faire boire jusqu’à la dernière goutte d’un violant poison. Mais finalement, Hercule survécu et vivat en tant qu’homme des années durant. Mais sa force colossale lui fit se poser des questions et on lui révéla alors ses origines. Mais pour pouvoir retourner à L’Olympe, il devra faire ses preuves sur Terre pour récupérer son statut de dieu. Philoctete (Patrick Timsit), un expert dans l’art de former un héros, prendra en charge l’éducation de Hercule.

Hercule est l’un des derniers Disney à respecter l’antique tradition, à savoir une palette de couleurs très colorées et flash et des chansons à répétition. Mais malheureusement, la plupart du temps ce sera les cinq muses chantant du gospel. Un véritable supplice pour les oreilles… Pire encore, ces chansons n’apportent rien à l’histoire, bien au contraire : elles cassent le rythme du film. Dommage car la mythologie grecque est très riche mais elle est largement sous exploitée ici. Et si Hercule est un héros au fort capital sympathie, son arrogance et sa connerie nous empêche de pleinement le soutenir. Mais la palme du pire personnage revient à sa copine Megara très superficielle, allumeuse et nymphomane. Et bien évidemment, tout est prévisible du début à la fin. Et pourtant, la richesse du mythe et la qualité des décors recelaient un potentiel énorme ! Le film ne conviendra guerre plus qu’aux enfants ignorants et peu regardants…

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