Frank Darabont revient pour une nouvelle adaptation de Stephen King, après Les Évadés et La Ligne verte. Il s’agit de la nouvelle Brume, du recueil du même nom.
Après une grosse tempête, la famille Drayton se réveille et constate les dégâts. David, le père, décide d’emmener son fils et son voisin, dont la voiture fut écrasé par un arbre, au magasin du coin. C’est alors qu’une brume épaisse semble venir des collines, là où se trouve une base militaire. Et alors qu’il fait ses courses, un homme ensanglanté rentre effrayé dans la magasin, une chose dans le brouillard avait tué son ami. Peu à peu, les gens vont se rendre compte que se brouillard n’est pas naturel et que d’horribles monstres y résident.
Oh la vache mais quelle merde ! Les acteurs sont effroyablement nullissimes, la mise en scène ridicule, l’histoire est déplorable et les effets spéciaux en dessous de tout. Un vrai calvaire. Puis une heure passe. Houa, ils sont pas mal du tout ses insectes ! Bizarre, on dirait que s’est mieux filmé ? Bah, ça alors ! Les acteurs sont devenus presque bons ! Mais c’est du pur caviar les effets spéciaux !
Eh oui, la première moitiée du film fut tourné sans budget à l’arrache et avec les moyens du bord. Puis les 20 millions sont enfin arrivés et là le film commence vraiment à passionner et en jette plein les yeux, bien qu’ils soient dans la brume. En bref, si vous réussissez à tenir 60 minutes, vous aurez le droit à un bon film avec de surcroit un twist ending de qualité, bien qu’assez horrible dans les faits.