Comme bon nombre de film avec Elisha Cuthbert (The Girl Next Door, Mme.Baeur dans 24 heures chrono), il s’agit là d’un direct-to-DVD. Vous ne trouverai là aucunes personnes connu, à part peu être le père qui ressemble à si méprendre à l’homme-trouble de Mass Effect 2.
L’histoire est celle de Charlie (Jesse Bradford) qui tombe un jour sur Jordan (Elisha) qui semble particulièrement bourrée. Après l’avoir « sauvé », il va la raccompagné chez lui en tout bien tout honneur, se qui n’a pas semblé à la sécurité. Suite à cette rencontre, ils vont devenir amis et Charlie occupera le rôle de veiller sur cette alcoolique qui le fait craquer. Quelques mois après, elle lui demande de venir au parc avec, comme elle, une lettre racontant ses sentiments à son sujet, puis décide d’enfermé les deux lettres dans un checkeur. Ils devront revenir les déterrer un ans plus tard.
Le début ne semble pas terrible et la fille n’a l’air que d’une vulgaire garce pocharde. Mais le film nous offre dans les dernières scènes des révélations qui remette en cause notre jugement du film et forcé de constater que l’histoire est étonnement bien ficelé et beaucoup plus riche qu’il n’y parait. Mais cela ne change en rien le fait que le film est mou et que les acteurs sont mauvais. Reste un beau film à l’histoire original qui plaira à qui lui en donne la chance.
On dit « force est de constater » et non « forcé de constater ». Tu n’es pas forcé de le constater mais ta force est de le constater ! Va falloir revoir les expressions.
Ça dépend… On peut être forcé de constater certaines choses. Par exemple dans le film « que justice soit faite », un type est forcé de constater (vu qu’on lui a découpé les paupières) qu’il était en train de se faire amputer un bras.