Ce dont rêvent les filles

Ce dont rêvent les filles
2003
Dennie Gordon

A chacun de ses anniversaires, Daphne Reynolds (Amanda Bynes) demande à sa mère de lui raconter l’histoire de son père, qu’elle n’a jamais eu la chance de connaître.

C’était dans les années 70, Libby, la mère, était en voyage dans les déserts du Maroc et le destin mit sur sa route Henry Dashwood (Colin Firth). Entre eux, c’était l’amour fou mais un beau jour, le père de Henry mourra et il devint Lord à son tour. Etant devenu quelqu’un d’important, il ne pouvait décemment pas rester avec une hippie comme Lybby et on lui fit comprendre qu’elle n’avait pas sa place, alors même qu’elle attendait un enfant.

Aujourd’hui, Daphné a 17 ans et elle ressent toujours un manque. Décidée, elle prend son courage à deux mains et part pour Londres retrouver son père. Mais la jeune et enjoué américaine se heurtera non sans mal à l’aristocratie anglaise.

On assiste à un sacré mélange d’étonnant entre la classe très British de Colin Firth et la très déjantée Amanda Bynes. Tout deux excellent dans leurs catégorie avec talent et conviction. Le film est aussi incroyablement drôle de par se mélange, tout en gardant une certaine classe et retenue. L’humour est à la fois fin et efficace, ce qui est très rare ! Et derrière tout ça se cache un film profond et sensible qui joue avec habileté sur les émotions du spectateur. Si sa structure reste très classique, l’évolution de l’histoire réserve bon nombre de surprises à tel point que la fin n’est pas si attendue. On a vraiment là un grand film de qualité, à la fois drôle et touchant, avec un charme inouï et une magie folle.

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