Beau fixe

Beau fixe
1992
Christian Vincent

Devenir médecin a toujours été ardu, même il y a 20 ans. Pour réviser leurs partiels de fin de deuxième année, quatre filles vont passer quelques jours dans une maison de campagne inhabitée, au bord de la plage, appartenant à la grand-mère de l’une d’elles. Parmi ses quatre, on retrouvera deux jeunes actrices désormais célèbres : Isabelle Carré et Elsa Zylberstein. S’en suit une comédie plutôt faiblarde et inintéressante…
Puis d’un coup, le cousin débarque ! Il est envoyé par la grand-mère (apparemment sénile et qui a oublier les quatre filles) pour effectuer quelques menus travaux d’entretien et réparation. La cohabitation sera rude.

Immédiatement avec l’arrivée du cousin, le film prend une autre dimension : fini les quatre pauvres filles chiantes qui ne font que s’engueuler sur le choix de la matière à réviser. A la place, on suivra les tentatives désespérés et débiles du cousin pour se taper l’une des quatre, sa cousine aussi s’il le faut. Ses travaux font chier les filles comme pas permis, de par le bruit, et elles décident d’une mutinerie. Le personnage du cousin est hilarant tellement il est con, moche et réagi de la pire façon possible. Mais le temps passe et le rythme se casse la figure et l’ennui reprend ses droit avec un dernier tiers au ralenti. A réservé aux fans des actrices susnommées.

Ce contenu a été publié dans Cinéma, Critiques. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *